-Novembre 2013-
-Les douleurs-
J'écrits de la poésie pour fuir ma réalité
Je suis un être ainsi qui passe les mots pour
pleurer
Pour ce caché d'une vie si triste qu'il n'a sue
aimer
Âme imaginant un univers où il est piégé
Héro merveilleux d'un monde que côtois les démons
Parle de dieu et des anges et de ça défaillante
raison
Que je suis de sa folie seul à aimer ça chanson
Minable le message qu'accompagne les violons
Oui bien triste est les vers et les rimes de cet
auteur
L'ombre sinistre qui erre sur ces pas qu'ils a t'en
peur
Il prouve jour après jour le peu de foi de son cœur
Honte à mes yeux d'avoir eu l'orgueil d'être
chasseur
-L'adversaire-
Sa main c'est agité devant mes yeux comme un feu
qu'on tente d'éteindre
Qu'à ces yeux ma prière n'était qu'un râle agaçant
qu'il ne voulait rejoindre
Il fit projeter du mépris a la femme que jusque là
avait a mon égard affection
En réalité il me perturba et affecta mon esprit de
dérèglement et de pollution
Je sais que mon devoir était de rétablir l'équilibre
et de ramener la paix
Les jours qui on suivie j'ai été torturé de m'avoir
encore levé
Tu me demande un oracle contre cet homme impie
Tu veux que je sorte l'épée et que je frappe de
jours comme de nuits
Que mon armure en soit taché de sang cramoisi que je
ne suis digne de porté
L'honneur de notre dame ne porte le poids indigne de
mon péché
-La mort-
Tu me dis pourquoi endurer tant de souffrance
N'en a tu mare qu'ils se moquent de toi avec
réjouissance
Nous avons brisé un juste avec arrogance
Dame tu dis viens, cesse ton errance
Mais je veux encore me battre
Je souviens quand j'étais jeune, quand j'étais un
arbre
Je me force de croire dame, qu'on ne peu m'abattre
Tu dis reviens, oui, je vois biens, que je cabre
Je ne veux partir en disant qu'ils m'ont eu
Pour moi ça serrai une honte d'avoir perdu
Tu dis il n'y a pas de honte, tu ma restais fidele,
j'ai tout vue
Je vois que tu me tant les bras, dame, tu n'es point
déçus
Mais je n'arrive à mourir
Je ne vie pas pour le plaisir de souffrir
Je vie par la lâcheté dans sortir
Tu dis viens et ça en serra fini ta vie de triste
sourire
Tant moi la main encore
Je les vois dans l'ombre se moquer... C'est ça un
fort
Tu tant les mains pour que me ramener au port
Je veux encore combattre même si j'ai tort
Je
sais dame que tu m'attendra
-La libération-
Comme un prisonnier qui a oublié la liberté
Comme un oiseau qui a peur de sortir de ça cage et
de s'envolé
J'ai oublié moi-même ce qu'est la liberté
Que trop longtemps je porte un pois d'une culpabilité
Aujourd'hui je ressens une certaine paix
Ou mes yeux ne voient plus que je suis prisonnier
Je ne vois pas le retour de l'exilé
Je me sens comme un drap fripé
Je voudrais demander
Mais j'ai peur que personne n'entende ma voix parler
Que je me réveil d'un cauchemar vers un autre amené
Je me sens perdu, mon âme exterminer
Ou ai-je encore échoué
J'ai oublié ce qu'est la liberté
Je suis ma cité
Noir, seul et oublié
Je voudrai t'appeler
Pour être rassurer
Comme j'ai oublié la liberté
J'ai aussi oublié la vérité
Sans vision qui me dit ou cheminé
L'aveugle tourmenté
Se n'est que le résultat de mon péché
Une âme qu'on n'a jamais épargnée
Et ignore si il se souviendra de la paix
Il ne sait plus dans quelle direction la chercher
Peut-être un juge m'attend pour me condamné
Peut-être que pour toujours dieu c'est retiré
Que pour toujours je ne serrais qu'un banc vide prés
d'un quai
-Que sous tes ailes tu vois mon visage-
Le baisé de leur noir enveloppe
Comme dans ce film qu'on assassine Pénélope
Ils veulent partir, qu'ils partent
Le mensonge qui les rattrape
Que beugle le bœuf
Le sang du christ qui tombe sur l'œuf
-Fatigué d'être mauvais-
Je cherche querelle
Un conflit eternel
Je voudrai que cesse mes prorogations
Que je puisse du nouveau chanter une belle chanson
D'amour et de bonté
Quelqu'un qui ne veux pas tous nous tué
Je suis vraiment fatigué
D'être ravagé par l'obscurité
-Mes droits et devoirs-
Je ne mentirais pas
Devant l'injustice je garderais la foi
Même si au soir je verse des larmes
Même si on tente de me faire lâcher mon arme
Je penserai à toi
Et tu me mèneras au bon endroit
Ou je dois être
Comme un mot qui est peuplée de lettre
-J'ai demandé pourquoi-
J'ai demandé pourquoi
On ma arraché les yeux
J'ai demandé pourquoi
On ma brulé au fer rouge
J'ai demandé pourquoi
On ma maudit
J'ai demandé pourquoi
On ma tenus au silence
J'ai demandé pourquoi
On ma fait une lobotomie
J'ai cessé de demandé pourquoi
Et je ne ressens plus rien maintenant
-Qu'a droit de dire un damné sur l'œuvre de dieu-
Qu'il souhaite leur place a l'assemblé a les plus
méritant que lui
Qu'il ira chercher ceux qui manquent à dieu dans les
profondeurs du puits
Refusera qu'il manque une âme a ça place au paradis
Il se battra pour cette infamie
Il vivra les enfers pour avoir fait le mal
Il donnera son manteau pour réchauffait un
malheureux sans un râle
Aussi fort que ces tourment lui permettront il serra
amical
Acceptera l'insulte du juste devant ça Dale
Il n'a pas droit de se plaindre
De protester, de geindre
Car il n'est même pas humain qu'on peu joindre
Il défend le droit de ces reins qu'on ceindre
Que l'accablé et le torturé verra ça main se tendre
vers eux
Le voleur et le calomnieux devrons plier devant dieu
Le damné même si il en l'aspect prendra la défense
du malheureux
Donnera si possible son amour de son âme noir sans
espérer rien en retour de chaleureux
-Malade-
Mon âme est malade
On empoisonne ma salade
Ce n'est plus qu'une marmelade
Oserai-tu me demandé une limonade
Le cœur est percé par milles mensonges
Ignorant d'ou viens le songe
Sur son lit il y songe
On rit de lui comme si se n'est qu'un os qu'on ronge
Dieu et les anges
Qu'est-ce que ça change
C'est la poupée de cristal tous brisée qu'on mange
Ce n'est qu'une âme en enfers qu'on range
-Le petit prince-
Dessine moi un mouton
Car je rentre à la maison
Mais que mange un mouton
Car j'ai une fleur unique à ma maison
Mais il est trop vieux mon mouton
Dessine moi en un qu'il peu venir a ma maison
Je le mets dans une boite ton mouton
Parfait exactement comme y faut pour ma maison
Je fais un pas sur ma planète et je vois le soleil
se coucher à l'horizon
Triste ma planète est petite est je peu répétais
plusieurs par jour cette même action
Et je peu voir plusieurs fois par jour le coucher de
soleil a l'horizon
Et je suis triste car je répète plusieurs fois par
jour cette action
Mais je m'inquiète de ma fleur unique que je ne vois
plus à l'horizon
Mais sur ma planète ma fleur unique me demande plain
d'action
De lui mètre un paravent dés que le soleil se lève à
l'horizon
Car ma fleur unique il faut que j'en prenne soin à
chaque action
-La vision de Dieu-
Quand je pria aujourd'hui dieu me montra comment il
veux que je décrive son trône, la vision que j'eu pour une autre fois est que
le trône de dieu est une montagne qui s'élève
au dessus des nuages a perte de vue au sommet de cette montagne qui
perce les nuages tout autour il y a un gigantesque trône de pierre comme du
granite noir et dieu avec une barbe blanche a l'aspect d'un vieillard
bien vaillant et il est tout au sommet de la montagne, j'eu aussi aujourd'hui
encore pour une autre fois la vision de la dame du lac, la vision de la dame du
lac été une femme vêtu d'une grande robe blanche de plusieurs épaiseurs qui
s'agite comme dans un tourbillons en flottant au dessus des eaux, je vie les
anges Hahasiah et Raphael qui étaient heureux de la description que je fit du
trône de dieu et de la dame du lac telle qu'on me la demander.
-La haine du bonheur-
Gouffre l'âme qui brule
La raison aussi stupide qu'une mule
Le juste comme le mauvais
M'appelle damné
Seul s'approche de l'enfer
Oubliant la raison pourquoi on vie sur terre
Peut-être pour touché parfois au bonheur
Comme meurs par erreur
-Damas-
Je te mets en garde lion de porte d'orient
L'aigle qui déploie ces ailes comme un ange clément
Les pays des ours veillent sur l'oliphant
-Vers le dernier bateau-
Avons-nous été arrogant ou présentueux
Ou ignorant des dangers impétueux
Car nous avons tous succombé
Aux grandeurs de nos péchés
Le vingtième siècle avez celé notre tombeau
Le siècle suivant pour les derniers est leurs
derniers pas vers leurs derniers bateaux
-Un léger éveil-
J'ai eu droit aujourd'hui à un rayon de soleil
Mon âme a eu un léger réveil
Comme si je traverser les brumes d'un profond
sommeil
Une joie comme mordre dans un fruit vermeil
-Chaque choix est important-
J'aurai voulu écrire aussi bien que toi
Que je porte également la foi
Que je te décrive aussi la voie
Que la vérité soit clair et limpide autant pour moi
Mais je suis moi
Que se réseau de l'âme se noie
Par négligence et faiblesse de ma foi
Que je suis aussi un simple homme qu'on broie
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