mardi 8 octobre 2013

Les derniers baisés






 


-Première partie-

Les derniers baisés



-Job-


Douce jeune fille encore dans tes rêves de la vie que tu entame
Deviens cette femme de mon souvenir à imprégner mon âme
De ton regard refléter la candeur et l'intégrité d'un amour sincère




-Mon dernier séjour-


Pour un chasseur de vampire
On a souvent des vies qui nous empêchent de rire
Des merveilles et des châteaux d'or
Des larmes et des mauvaises morts
Pour finalement se retrouver a la fosse
D'avoir tant de démon qui en ont brisé notre écorce
Qu'on oublie c'est quoi le bonheur
Qu'on vie dans des chimères et des peurs
Qu'on crache sur dieu et sur sa vie
Qu'au final la seul chose qu'on vie c'est le puis




-Antre du monstre-


Loin est le réconfort
Loin est la maison et le fort
D'affreuse souffrance je me tords
J'ai perdu le retour au port

Parler avec rimes
Avoir arbre a touché cime
Ces fruits ont savouré comme hymne

Je ne sens plus rien
Je ne vois plus rien
Sans toi je ne suis rien

La mort est toute proche
Je vois que ma vie est moche

Tout prés vous estes là
A guider mes pas
A entonner quelque beaux chants de là-bas

Un dieu veille sur toi
Il vie prés de toi
Je suis à lui et il est à moi

N'arrête pas d'y croire
Ces pour ton histoire

Peur au ventre
Du monstre je suis dans son antre
Je t'en pris rentre




-Amour et haine-


Douce dame envoie-moi quelques baisés
Que je puisse rêver de terre souhaité
A l'écueil de mon sommeil point de repos
Pourquoi cet enfant est sortie du berceau
Traqué et pourchasser de ces entrailles
Un roi perdu devant Versailles
L'amour est un reflet de la haine




-Dieu ma encore fait tousser-


Dieu ma encore fait tousser
Ne sais trop ce que j'ai fait
 Remarquant  plus mes vices
 Âme rivé de varice
Perverse et blasphématoire
Le cœur de l'homme est noir
Châtie bien pour que je t'aime
Que j'en comprenne le thème




- J'en réclame encore à ta fidélité-


Tu es ma force et mon espoir
Toi grand celui que fuis le désespoir
Les étoiles brillent dans ton manteau
Éclair le juste dans son château
Donne de la voix au cœur en émoi
Console celui qui a peur de toi

Mes filles on besoin que je vois
Qu'elle ne soit pas oublier loin de moi
Et j'ai besoin de te ressentir
Guider sur chemin à parcourir
Une maison digne que tu y loge
Que je te chante à pleine gorge

Mais je suis un ver dans un fruit mur
Un mal qui me ronge et perdure
Comme une nuit d'errance dans ma ville
Perfide et profondément vil
Rebelle et remplis de haine aveugle
Je parle violence, je beugle

Je suis le fou plein de révolte
A oublier l'amour désinvolte
Je me retourne encore vers toi
De mes mains de sang et sans exploits
J'en réclame encore à ta fidélité
Que tu puisses daigner me sauver




-L'histoire de ma vie-


Quitter le feu de la folie pour un peu d'espérance
Aller ce laissé séduire d'amour et de folle dance
Comme de magie blanche de bonheur et de chance
 Angoisse et peur enfin disparait sur se chemin d'errance

Mais dans mon taudis maudis et les pensées lugubres foisonnent
 Comme il a été dit disparaitre sans recevoir l'aide de personne
Terrible chaque jour la lampe se ternie sans quelle résonne
Mon cœur transpercer des funeste chants qu'on m'entonne

Aveugle je deviens jour après jour au coucher de mes jours
Comme attirer dans une spiral vers une ténébreuse tour
Comme des épines empoisonnées mon âme amener au four
Je cris, je cris de tout poumon et toute voix... A l'amour

Mais un voile soporifique me précipite mille tourments
A la dérision et tourner au ridicule mes bons sentiments
Sur un lit de ronce et de liane je dors sur mon sèment
Je suis la triste victime d'un perfide et vile mécréant




-Au soleil long séjour-


Bonheur et chance
Comme des amoureux qui dance
Des cœurs trop longtemps dans l'errance
Un esprit qui se réveil d'une longue transe

M'arrive-t-il d'aimer
Je crois que maintenant c'est
Mon âme arrive encore à voir quelques fées
D'une terre merveilleuse rêver

Tous vous voir dans l'heur
Se réconcilier chasseur
Un peu de paix a nos cœurs
Que c'est-se nos peur

Fragile nos esprits
Fosse et puis
Dévier du paradis
Reviens dans mes visions je t'en pris

Rêve de l'amour
Dame laisse moi te faire la cour
Revenir au lever du jour
Au soleil long séjour





-Je voulais connaitre la sagesse-


Je voulais connaitre la sagesse
La parcourir comme le corps d'une déesse
Mie bercer a la lumière des lampes
La voir me guider sur les rampes
En comprendre ces mystères
M'en instruire de ces ministères
D'en rêver et d'en aimer les clés
De la savourer comme l'été
De la chérir comme un trésor
D'en vaincre le mauvais sort

Je voulais connaitre la sagesse
Bouclier a ma détresse
Demeure à mon âme
 Cœur a ma dame
L'intelligence de mon esprit
La flamme de ma vie
Le comble des sentiments
L'éternité dans le temps
Don précieux inestimable
Beauté impérissable




-Deuxième partie-

Le pardon




-Si possible encore t'aimer-


J'ai douté de ta royauté
De pacotille j'ai pensé
Que tu été piètre amant
D'une prostitué plus de grémant
J'ai eu tort dans aimer d'autre
Triste roi parmi vous autre
Rien ne décrit cette rébellion
Mourant insensé nous oublions
Bien tes intentions vaillantes
Jeter pensé malveillante
Si à tes yeux t'être agréable
Baume a cœur charitable
Ne m'excuse en rien mes fautes
J'en suis moi, l'auteur et l'hôte
Si possible encore t'aimer
Ce de ton bon cœur être gré





-Juste un homme-


Juste un homme
Humain en somme
Droit et juste
Parfois leste
Honnête et intègre
Triste de son humeur aigre
Rêvant d'incorruptibilité
Travailler a l'immortalité
Vous protégez




-Troisième partie-

Les adieux




-Le prisonnier des anges-


Es que c'est devant un ange que je tomberai
Amener dans les ténèbres pour y être oublié
Séraphin au visage monstrueux caché derrière ces plumes
Cette puanteur de ces cieux que parfois je hume
Dame le chasseur est fait prisonnier
Car je n'ai su m'apprécier et m'aimer
D'une prison de mer d'écume
Pour Baudelaire qui fit et sûmes





-Car il a perdu son âme-


Le lion marche sur les empires
À coté de lui les chasseurs de vampire
Douce dame clame et réclame
Car il a perdu son âme




-...-


Je voudrai te faire louange
Te monter que j'aurai pue être un de tes anges
Pour ce monde que j'ai tant aimer




-Vide-


Vide et insipide
Amour du vide
Tortueuse
Gueuse
Folie
Pas de paradis
Je souffre
Profond gouffre
Terreur
Horreur
Terre
Enfer
Fer
Guerre
Dieu
Malheureux
Suicide
Ride
Vieillir
Mourir




-J'étais un autre-


J'illuminais comme une étoile filante
Mais comme une étoile filante je me consumais
Je brillais au point qu'a devenir que de cendre
Je voulais aimer le monde
Car je venais de naitre
Mais je pleurais le chagrin de mes douleurs
Le mal qui ma fait tant mal
Mais je rayonnai de bonheur
Au point que certain jalousât mon bonheur et m'en persécutât
Depuis toujours je fus victime de vils démons
Telle la marche de l'empereur ils son tapie dans l'ombre
Mais j'étais heureux
J'étais un autre
J'étais heureux




-Quatrième partie-

Le tramé




-Cessé de voir beau-


Le vent a soufflé d'est en ouest, de sud au nord
Le roi cherche sa raison sans sa c'est la mort
Les anges on cessés de l'aimer
Le cavalier chemine sur une terre désolé
Plus que tout je voulais mon nom de tout beauté
Mais le voyageur des limbes son âme n'en a égaré
Je ne souhaite que dieu puisse m'accueillir
Quand ma vie cessera de s'écrire
Pour l'heure atrophier et seul, je vie
Sur une terre pour moi n'a aucun paradis
J'ai vue des succubes chasser l'amour de devant mes yeux
J'ai vue homme pour son salut obligé de cesser de prier dieu
Plier devant un esprit tordu
Celui justice voyer en a perdu la vue
Je n'ai mots
Pour avoir cessé de voir beau




-Always believe (ma maison)-


J'ai crue que j'avais bâtie ma maison sur du solide
Malgré tout des torrents son passer et elle a tenu solide
Mais l'ouragan est passé et elle c'est effondrée et c'est fait emporter
J'étais bien triste et accablé et surtout très effondré
J'ai rencontré un indien qui m'écrit sur un tout petit bout de papier
Always believe
Car je ne veux plus une maison chétive et bancale qui s'effondra au premier cout vent
Il faut reconstruire ma maison et je veux quelle résiste au prochain ouragan
En tour circonstance pence comment ta maison s'est effondrée
Et agi que ton âme se rafraichisse que de parole vive




-L'aurore du soir-


Es que je m'efface pour te laisser la place
Un bloc de béton comme palace

Combien serons-nous à disparaitre
Combien cesserons de naitre

J'ai laissé haine prendre place a l'amour
Colère au carrefour et détour

Ma foi est bien dérisoire
Comme si l'aurore est rendue le soir




-Dore-


Tu dis victoire quand il y a défaite
Tu dis vie quand elle est en miette
Je ne lie plus un livre
Les mots ne m'en ivre
Il n'y a plus d'amour
C'est moi qui suis rentré dans la tour
Peu t'on venir a mon aide
Moi qui a une langue si laide
Ou suis-je condamné
Pour avoir trop péché
Je suis simplement un fou
Qui a l'esprit tiraillé par les loups
Je ne vois plus le jour au matin
Je suis de la perversité d'un pantin
Reviendras-tu
Car je n'en peu plus




-Cinquième partie-

Le ressusciter des morts




-Mortel jeu eternel-


Comme un dieu qui savait et savourait
Qu'une âme rayonnante passerai de la lumière aux ténèbrés
Comme un roi chasser de son royaume par un prince de l'obscurité
En verrai ces princesses et femme s'indigner d'avoir concubiner

Sous l'œil avide d'un démon devant son massacre perpétuel
Nous somme les pions mortels d'un jeu eternel
Ou diable et ange sont souvent pareils
Que l'homme pieu est prie comme un fruit murs vermeil




-La croix-


Il y a des rois et des princes
Sage ou tyran la ligne est mince
J'ai vue mon peuple forgé l'acier
Douter de dieu et prier des fées
Un feu lécher la raison
Croire dans l'amour et sa passion
Croire qu'il existe justice
Pleurer par tant de malice
Je suis la fable et l'illusion
L'effondrement de dieu et sa maison
Un cœur noirci par un sang abject
Disciple du mal et d'obscure secte
La dérision de l'âme
La vertu de mes dames
Un printemps funeste
Sur les canaux la peste
Je suis tous ça à la fois
Celui qui porte éternellement une croix




-Celui qui est noir-


Que suis-je pour toi
Un semblant de roi
Un insouciant
Un idiot lent
Un piètre amant
Un prince charmant
Ou rien de cela
Que l'homme de là-bas
Celui qui est noir




-Monstre-


Es que c'est à cause que je suis une vielle âme
Ou a cause que j'ai pleuré le mal qu'on leur a fait
Que je suis le monstre





-Les brumes-


Les brumes sur le lac la nuit
Pour moi l'enfer et le puis
Malgré tout sa ressemble pour moi au plus beau de ma vie
Pour ma foi une image aussi féerique que le paradis

Comme un souvenir vécu depuis mille ans
Comme couve une berceuse, charmant
Qu'un ciel un instant nous fait un cadeau rayonnant
Comme cette rencontre, si brève, ma femme m'aimant

Mes amis vampires sitôt souhaité
Sitôt agréer
Que dame du lac puisse me pardonner
Qu'elle sache que ce cœur a de peine à aimer

Mais les brumes sur le lac la nuit
On chasser un instant mon ennui
Du moins apprécier cette image qui me réjouit
Du moins oublier pour le moment cette âme noire comme la suis

Comme si j'été la à temps
Comme si dormant sur mon semant
Une déesse retrouver son amant
Comme un poète d'aujourd'hui rimant comme les illustres dentant

Mais le péché est sans cesse ranimer
D'un cœur toujours si maltraiter
Peu-tu un instant sen rien penser
Et te laisser bercer par la douceur de l'été

Mais qui je suis
Souvent j'entant sais tu qui est lui
Mes yeux, cela  m'échappe comme l'infini
Celui qui se souvient qu'autrefois il avait lampe qui luit

Qu'un vil démon la continuellement persécuter
Blasphémer et torturer
D'avoir simplement voulu faire la beauté
Et qui le fait frémir d'avoir réussie à l'empêcher d'aimer

Qu'a mon dernier jour, dans les brumes je me coucherai sur mon dernier lit
D'être blesser et trahie
Pourvoyeur de la lie
Artiste maudit

Dans les brumes en attendant d'angélique chant
Pour rejoindre un antique Avalon loin du néant
Ou culpabilité et tourment
Ne serons plus mon emprisonnement

...

Tu as encore dépeint ta noirceur sur ton papier
Ton mal de ton âme ravagé
Entre l'enfer et le paradis ou tu t'es piéger
Pourtant ce soir les brume sur le lac ton apportait un moment de paix




-Le remord-


Le remord des fois me fait verser quelque larmes
Comme ce chasseur de vampire qui chasse sans arme
Ce remord qui laisse que cendre et poussière
 N'avoir mieux que de marcher a la lisière
Et toi d'en avoir laissé autant derrière
Que ça devant qu'on ne peu dire que dieu agraire
Et prostré de douleur tu pleurs de tant de drame
Comme prie de ce destin infernal qui ce trame

Et sans cesse tu te ronge de tout l'intérieur
Que toi même soit plus responsable que le tueur
Alors tu y pence jour et nuit et tu dis -Si
Et par la un triste bonheur qui partout te suis
Que plus grand que toi, terrible se joue une partie
Que malgré tout, toi, tu en es l'acteur maudis
Que mon cœur ne peu a lui seul en être l'auteur
Que par erreur soyons accablé de malheur




-Je me noie-


Apprendrai-je un jour
Comme si j'ai désir de jouer des mauvais tours
Quand je vois poindre la lumière
Je ramène cet esprit à la misère
Corrompus comme attirer par le vice
Ou moi même porteur de malice
Tirailler c'est peu être que tu t'en libère
Qu'il écoute peu être tes prières
Que vous soyez heureux de me voir
Que non il nous imprègne de noir
Tu crois qu'il le faut
Mais c'est une tour perdu au milieu des eaux
Je me noie
Je me noie




-Sixième partie-

La capitulation du fou





-La folie et le démon-


Son visage
Chasse le bonheur comme un mirage
Même dans nos prières il vient nous hanter
En l'instant résinier
Que joie ne peuvent nous habiter
Comme un diable déterminer a nous torturer
Je ne laisserai paix
Tant qu'il ne serra tuer
Et même après              




-Les Québécois-


Quelle folie a traversé nos baisées
Vers les terres de l'ouest avons émigré
Pour porter autre
Une terre qui est notre




-J'ai crue me voir-


J'ai crue voir de ce que j'ai l'air
Un homme paumé comme Baudelaire
Comme lui un amoureux du mal
Trainant son âme dans d'obscurs bals
 Insouciant de sa débauche
Et aveugle du vice tout proche
A parler comme un demeurer
Et bien voir qu'il été damné
D'avoir fuis l'amour pour la tour
Pleurant femme au lever du jour
Comme lui a s'empoisonner l'âme
A dessiner de mauvaise lame
À maudire démon et faux frère
Parler du vide et de l'enfer
Implorer a l'aide qu'on l'achève
Comme les bonnes gens, le relève
Voir comme il est bas et souffrant
Prisonnier des griffes de Satan
Se tortillant de ces douleurs
De m'avoir causé tant malheur
De vous nourrir de pensée grise
Dieu d'avoir jouer de traitrise
Comme lui n'avoir fait la beauté
D'avoir laisser notre âme bruler





-Pourquoi-


Pourquoi a continuer a enduré
A te torturer, a te prostré
Même lui te dis d'arrêter
De rentré
De la haut il te parlera
Il te ferra voir tes peines d'ici bas




-Le péché-


Celui qui de notre faiblesse
De notre cœur blesse
Comme cette aurore noir
Que l'amour qu'on ne peu voir




-La prostituer du centre ville-


A tu de l'argent
Je suis enceinte de toi
Telle est la vie




-Que tout est bidon-


De par au delà de la cité noir
J'ai vue
Par le commencement et la fin
J'ai vue
M'aurai tu mentis
Pour que je ne perds espoir
Que pour mettre un baume a mes tourments
Ne me dis pas que tu ma mentis
Que tout est faux
Que nous pouvons mourir
Qu'en vain nous avons souffert
Que le diable est plus fort que nous
Que tout est bidon




-Septième partie-

Le doute




-Croire dans quelque dentèle-


Abreuver de tourment
Des blessures de mes amants
Mes nymphes et leur chant
Prisonnier et mourant

Comme une lame d'airain qui me rentre dans l'esprit
Pour croire dans les raisons de nos vies
Comme si nous avons à protéger la puie
Contre se pourvoyeur de suis

Si on pouvait fermer cette corruption qui provient du ciel
De ceux qui ce croit eternel
Il nous faut certainement croire encore dans quelque dentèle
Juste assez pour nous donner des ailes




-Spleen-


On a lâché l'ouragan
Plus d'amour au berçant
Je me vois néant
Misère au champ

Spleen mercredi
Tous comme samedi
C'est vraiment plus la joie cette vie
Qu'un léger cri mardi

De retour a l'indifférence
Boucle et ganse
Voiture sans essence
Mes dernières fleurs que je lance




-Ta première loi-


Comme dans un étau maudis
A jamais cette pensée me poursuis
Vers quel endroit vais-je
Et que serrais-je
Est-ce que ta vraiment tous prévus
Et est-ce que tout ce passe comme tu la voulu
Pour vous gens de la lumière est-ce
Ou pour moi tout cesse
N'est-ce pas la loi que tu voulais que je me souvienne
Comme si je suis appelé vers les rivages rocheux d'une sirène




-Fou-


M'abandonnes-tu encore
Car j'ai peut-être tord
Qu'injuste est ma voie
Que je n'ai jamais été un roi
Que j'ai juste voulus parler aussi bien qu'eux
Qui estimer son cœur valeureux
Suis-je se tyran qui métra feu et a sang la citadelle
Croyant qu'il touche l'eternel
Suis-je mauvais
Suis-je fou
Tu as parlé
Je suis rien du tout




-Huitième partie-

La perte de l'âme




-Impression-


Daniel ta surement raison
La folie a gagné sur ma raison
Ou la pensée c'effiloche sur une toile sans fond
Comme une musique sans son
J'ai vraiment perdu l'âme
Pour que mes yeux au regard fou qui trame
À essayer de s'accrocher a une réalité
Que cet esprit a probablement imaginé
Sous ton regard, est-ce si dur à comprendre
J'aurai du rester au bout de ma corde et me pendre
Je suis le vide qui n'arrive plus
Cette esprit ne vie plus
Il se brise comme un miroir
D'une incompréhensible histoire
Ou n'est-ce qu'une impression
D'une mauvaise chanson




-Neuvième partie-

Le démon




-Le temps ou la folie-



Le temps ou la folie
Est-ce que je mens ou je lie
Prisonnier ou libre
Restera-t-il des feuilles dans l'arbre
Malade de vouloir aimer
Est-ce que je sais aimer
Ou ne sache que blasphémer et outré
Peu être je ne suis plus de ce monde du tout de ces années
Cette tête ne cesse de pensé
Faisons la chanter
Sait-elle ce qu'elle fait
Peu être pas plus que moi je sais
Si tu ma donnai des yeux c'est pour voir peu être
Certainement pour ne pas naitre
Le laissais la a son enfer et ce réjouir
On me dit pareillement avec un sourire
Justement je veux en sortir
Si les anges doivent mourir laissons les mourir




-Dixième partie-

La clairière




-L'éclaircie-


Tu a surement raison... Je suis chanceux
J'ai vue des ciels bleus
Des aurores de soleil éclatant
J'ai sentie sur mon visage le souffle du vent
J'ai vue des animaux calme et reposer




-Ne meurt pas haine-


Ne meurt pas haine
Que j'apprécie ces chaines
Est-ce que vie encore l'amour
Il été au plus profond d'une tour
Tu sais maintenant je me lèverai contre eux
C'est toi leur dieu
Tu leur as promis qu'ils domineraient tout
Ils soufflent contre nous tous... Fou
Malgré tout il se plie pour eux
Berné et cessé d'avoir le cœur bleu
Je ne te ferrais aucun reproche
Car je sais combien c'est moche
Donne-moi un rêve que je m'en moque
Comme une errance de foi et de loque




-Toi-


Plier devant qui m'outrage
Est-ce une décision sage
On t'ils créaient la vie
Ou œuvré a m'envoyer au puis
...Toi...
Et t'est qui toi
Mieux que moi
Ta voix fait force de loi
Je née ou je meurs
C'est la juive qui dit que je meurs
Alors toi qui a dieu... Tue-moi
Ma dame dit a mon cœur de ce taire, émois
Écarte tes plumes de ton visage
Pour que je voie tes yeux si ils sont sages




-Onzième partie-

Le naufrage




-Une femme d'amour-


Ta vue une femme rayonner d'amour
Comment a tu pue détourner le regard pour pensée a l'enfer et ces tours
Tu cherche encore une guerre quant tu veux la paix
Tu dis que tu vivais plus quand t'étai tourmenter
Est-ce que cette âme est briser au point quelle ne sais plus aimer
Mais cette femme sereine et enjouer
N'étai-je pas moi il y a quelques étés
Mais quel est ce mal qui ma défigurer
Vers quel destin funeste je me prends au détour
Vers quelles ténèbres je vais a la fin de mes jours




-On cherche à nous situer-


Est-ce que je me prépare au crime
Ou me berce de ta haute cime
Je suis bien désemparer
Je ne sais plus ou nous situer
Je me demande si il m'est permis de prendre encore quelque fleur
Juste pour oublier malheur et bonheur
Pour être seulement absent dans l'heur
Ou pour simplement assumer que je suis chasseur
Qui sais peu être pour espérer mieux voir
Ou pour ne pas penser a ce que je narrer au parloir
Je m'ennuis il faut rêver
...Non me perdre et nous condamné
Je suis malgré tout que de chair
Et j'ai un peu oublié ce qui nous est cher
Pardonne-moi mon frère
Nous somme entre terre et enfer
On cherche à nous situer
À nous situer




-Conclusion-

A tu compris ça




-Oui, a tu compris ça-


Je ne sais pas
Je sais quelle là
Douleur je vie là
Le doute encore sur mes pas
Souffrance qui ne s'attenu pas
Je crois avoir compris qu'en tous lieux tu marche dans mes pas
Mais je voulais me libérer de ça
Mais je voulais me libérer de ça
Pourquoi je suis revenu à ça
Cette souffrance qui ne part pas
Comme si j'avais rien compris de ça
Comme si je ne m'en libérer pas de ça
Mais tu es la
Tu ma fait vivre mille émotions pour arriver a ça
Que ça devait ce passé comme ça
Tu ne comprends pas
Que c'est ça, ça





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