lundi 1 juillet 2013

Les derniers baisés

Les derniers baisés

 

 

 

-Job-

 

 

Douce jeune fille encore dans tes rêves de la vie que tu entame
Deviens cette femme de mon souvenir à imprégner mon âme
De ton regard refléter la candeur et l'intégrité d'un amour sincère
 

 

 

-Mon dernier séjour-

 

 

Pour un chasseur de vampire
On a souvent des vies qui nous empêchent de rire
Des merveilles et des châteaux d'or
Des larmes et des mauvaises morts
Pour finalement se retrouver a la fosse
D'avoir tant de démon qui en ont brisé notre écorce
Qu'on oublie c'est quoi le bonheur
Qu'on vie dans des chimères et des peurs
Qu'on crache sur dieu et sur sa vie
Qu'au final la seul chose qu'on vie c'est le puis
 

 
 
 
 
-Antre du monstre-

 

 

Loin est le réconfort
Loin est la maison et le fort
D'affreuse souffrance je me tords
J'ai perdu le retour au port
 
Parler avec rimes
Avoir arbre a touché cime
Ces fruits ont savouré comme hymne
 
Je ne sens plus rien
Je ne vois plus rien
Sans toi je ne suis rien
 
La mort est toute proche
Je vois que ma vie est moche
 
Tout prés vous estes là
A guider mes pas
A entonner quelque beaux chants de là-bas
 
Un dieu veille sur toi
Il vie prés de toi
Je suis à lui et il est à moi
 
N'arrête pas d'y croire
Ces pour ton histoire
 
Peur au ventre
Du monstre je suis dans son antre
Je t'en pris rentre
 
 
 
 
-Amour et haine-
 
 
Douce dame envoie-moi quelques baisés
Que je puisse rêver de terre souhaité
A l'écueil de mon sommeil point de repos
Pourquoi cette enfant est sortie du berceau
Traqué et pourchasser de ces entrailles
Un roi perdu devant Versailles
L'amour est un reflet de la haine
 
 
 
 
-Dieu ma encore fait tousser-
 
 
Dieu ma encore fait tousser
Ne sais trop ce que j'ai fait
 Remarquant  plus mes vices
 Âme rivé de varice
Perverse et blasphématoire
Le cœur de l'homme est noir
Châtie bien pour que je t'aime
Que j'en comprenne le thème
 
 
 
 
- J'en réclame encore à ta fidélité-
 
 
Tu es ma force et mon espoir
Toi grand celui que fuis le désespoir
Les étoiles brillent dans ton manteau
Éclair le juste dans son château
Donne de la voix au cœur en émoi
Console celui qui a peur de toi
 
Mes filles on besoin que je vois
Qu'elle ne soit pas oublier loin de moi
Et j'ai besoin de te ressentir
Guider sur chemin à parcourir
Une maison digne que tu y loge
Que je te chante à pleine gorge

Mais je suis un ver dans un fruit mur
Un mal qui me ronge et perdure
Comme une nuit d'errance dans ma ville
Perfide et profondément vil
Rebelle et remplis de haine aveugle
Je parle violence, je beugle
 
Je suis le fou plein de révolte
A oublier l'amour désinvolte
Je me retourne encore vers toi
De mes mains de sang et sans exploits
J'en réclame encore à ta fidélité
Que tu puisses daigner me sauver
 
 
 

-L'histoire de ma vie-
 
 
Quitter le feu de la folie pour un peu d'espérance
Aller ce laissé séduire d'amour et de folle dance
Comme de magie blanche de bonheur et de chance
 Angoisse et peur enfin disparait sur se chemin d'errance
 
Mais dans mon taudis maudis et les pensées lugubres foisonnent
 Comme il a été dit disparaitre sans recevoir l'aide de personne
Terrible chaque jour la lampe se ternie sans quelle résonne
Mon cœur transpercer des funeste chants qu'on m'entonne
 
Aveugle je deviens jour après jour au coucher de mes jours
Comme attirer dans une spiral vers une ténébreuse tour
Comme des épines empoisonnées mon âme amener au four
Je cris, je cris de tout poumon et toute voix... A l'amour
 
Mais un voile soporifique me précipite mille tourments
A la dérision et tourner au ridicule mes bons sentiments
Sur un lit de ronce et de liane je dors sur mon sèment
Je suis la triste victime d'un perfide et vile mécréant
 

 
 
-Au soleil long séjour-
 
 
Bonheur et chance
Comme des amoureux qui dance
Des cœurs trop longtemps dans l'errance
Un esprit qui se réveil d'une longue transe

M'arrive-t-il d'aimer
Je crois que maintenant c'est
Mon âme arrive encore à voir quelques fées
D'une terre merveilleuse rêver
 
Tous vous voir dans l'heur
Se réconcilier chasseur
Un peu de paix a nos cœurs
Que c'esse nos peur
 
Fragile nos esprits
Fosse et puis
Dévier du paradis
Reviens dans mes visions je t'en pris
 
Rêve de l'amour
Dame laisse moi te faire la cour
Revenir au lever du jour
Au soleil long séjour
 
 
 
 
-Je voulais connaitre la sagesse-
 
 
Je voulais connaitre la sagesse
La parcourir comme le corps d'une déesse
Mie bercer a la lumière des lampes
La voir me guider sur les rampes
En comprendre ces mystères
M'en instruire de ces ministères
D'en rêver et d'en aimer les clés
De la savourer comme l'été
De la chérir comme un trésor
D'en vaincre le mauvais sort
 
Je voulais connaitre la sagesse
Bouclier a ma détresse
Demeure à mon âme
 Cœur a ma dame
L'intelligence de mon esprit
La flamme de ma vie
Le comble des sentiments
L'éternité dans le temps
Don précieux inestimable
Beauté impérissable
 
 
 
 
 
-Deuxième partie-
 
Le pardon
 
 
 
 
-Si possible encore t'aimer- 
 
 
J'ai douté de ta royauté
De pacotille j'ai pensé
Que tu été piètre amant
D'une prostitué plus de grémant
J'ai eu tort dans aimer d'autre
Triste roi parmi vous autre
Rien ne décrit cette rébellion
Mourant insensé nous oublions
Bien tes intentions vaillantes
Jeter pensé malveillante
Si à tes yeux t'être agréable
Baume a cœur charitable
Ne m'excuse en rien mes fautes
J'en suis moi, l'auteur et l'hôte
Si possible encore t'aimer
Ce de ton bon cœur être gré
 
 
 
 
 
-Juste un homme-
 
 
Juste un homme
Humain en somme
Droit et juste
Parfois leste
Honnête et intègre
Triste de son humeur aigre
Rêvant d'incorruptibilité
Travailler a l'immortalité
Vous protégez
 
 
 
 
 
-Troisième partie-
 
Les adieux
 
 
 
 
-Le prisonnier des anges-
 
 
Es que c'est devant un ange que je tomberai
Amener dans les ténèbres pour y être oublié
Séraphin au visage monstrueux caché derrière ces plumes
Cette puanteur de ces cieux que parfois je hume
Dame le chasseur est fait prisonnier
Car je n'ai su m'apprécier et m'aimer
D'une prison de mer d'écume
Pour Baudelaire qui fit et sûmes
 
 
 
 
 
-Car il a perdu son âme-
 
 
Le lion marche sur les empires
À coté de lui les chasseurs de vampire
Douce dame clame et réclame
Car il a perdu son âme
 
 
 
 
 
-...-
 
 
Je voudrai te faire louange
Te monter que j'aurai pue être un de tes anges
Pour ce monde que j'ai tant aimer
 
 
 
 
-Vide-
 
 
Vide et insipide
Amour du vide
Tortueuse
Gueuse
Folie
Pas de paradis
Je souffre
Profond gouffre
Terreur
Horreur
Terre
Enfer
Fer
Guerre
Dieu
Malheureux
Suicide
Ride
Vieillir
Mourir
 
 
 
 
-J'étais un autre-
 
 
J'illuminais comme une étoile filante
Mais comme une étoile filante je me consumais
Je brillais au point qu'a devenir que de cendre
Je voulais aimer le monde
Car je venais de naitre
Mais je pleurais le chagrin de mes douleurs
Le mal qui ma fait tant mal
Mais je rayonnai de bonheur
Au point que certain jalousât mon bonheur et m'en persécutât
Depuis toujours je fus victime de vils démons
Telle la marche de l'empereur ils son tapie dans l'ombre
Mais j'étais heureux
J'étais un autre
J'étais heureux
 
 
 
 
 -Quatrième partie-
 
Le tramé
 
 
 
 
-Cessé de voir beau-

 
Le vent a soufflé d'est en ouest, de sud au nord
Le roi cherche sa raison sans sa c'est la mort
Les anges on cessés de l'aimer
Le cavalier chemine sur une terre désolé
Plus tout je voulais mon nom de tout beauté
Mais le voyageur des limbes son âme n'en a égaré
Je ne souhaite que dieu puisse m'accueillir
Quand ma vie cessera de s'écrire
Pour l'heure atrophier et seul, je vie
Sur une terre pour moi n'a aucun paradis
J'ai vue des succubes chasser l'amour de devant mes yeux
J'ai vue homme pour son salut obligé de cesser de prier dieu
Plier devant un esprit tordu
Celui justice voyer en a perdu la vue
Je n'ai mots
Pour avoir cessé de voir beau
 
 
 
 
-Always believe (ma maison)-
 
 
J'ai crue que j'avais bâtie ma maison sur du solide
Malgré tout des torrents son passer et elle a tenu solide
Mais l'ouragan est passé et elle c'est effondrée et c'est fait emporter
J'étais bien triste et accablé et surtout très effondré
J'ai rencontré un indien qui m'écrit sur un tout petit bout de papier
Always believe
Car je ne veux plus une maison chétive et bancale qui s'effondra au premier cout vent
Il faut reconstruire ma maison et je veux quelle résiste au prochain ouragan
En tour circonstance pence comment ta maison s'est effondrée
Et agi que ton âme se rafraichisse que de parole vive
 
 
 
 
-L'aurore du soir-
 
 
Es que je m'efface pour te laisser la place
Un bloc de béton comme palace
 
Combien serons-nous à disparaitre
Combien cesserons de naitre
 
J'ai laissé haine prendre place a l'amour
Colère au carrefour et détour
 
Ma foi est bien dérisoire
Comme si l'aurore est rendue le soir
 
 
 
 
-Dore-
 
 
Tu dis victoire quand il y a défaite
Tu dis vie quand elle est en miette
Je ne lie plus un livre
Les mots ne m'en ivre
Il n'y a plus d'amour
C'est moi qui suis rentré dans la tour
Peu t'on venir a mon aide
Moi qui a une langue si laide
Ou suis-je condamné
Pour avoir trop péché
Je suis simplement un fou
Qui a l'esprit tiraillé par les loups
Je ne vois plus le jour au matin
Je suis de la perversité d'un pantin
Reviendras-tu
Car je n'en peu plus
 

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